
Vie aquatique
Le quatorzième objectif promeut la conservation et l’exploitation durable des écosystèmes marins et côtiers, selon trois ambitions fondatrices : une gestion plus durable des ressources via la préservation de 10 % des zones marines et côtières, la lutte contre la surpêche et la pêche illicite ; l’accélération des recherches scientifiques et du transfert de techniques pour renforcer la résilience des écosystèmes et réduire au maximum l’acidification des océans ; la conception de la gestion durable des ressources marines comme une opportunité de développement économique et touristique pour les petits États insulaires et les pays les moins avancées.

Exemple d’actions réalisées
Le conseil départemental de Loir-et-Cher conseille et accompagne les porteurs de projets afin de préserver la qualité de l’eau du Loir-et-Cher : suivi des systèmes d’assainissement, suivi de la qualité des eaux de rivière, suivi du réseau d’eau potable. En complément, la collectivité souhaite également participer à la sensibilisation et à la prévention des risques d’inondation en lien avec les territoires. Pour cela, le département est notamment membre de l’Établissement public Loire et est également signataire d’une convention tripartite avec l’Agence de L’Eau Loire-Bretagne et l’Observatoire de l’Économie et des Territoires. C’est également au travers d’accompagnements techniques de collectivités que le sujet inondation peut être abordé.
Chiffres clés
En Loir-et-Cher :
En 2024, 10 temps d’échanges avec les collectivités et partenaires, 46 participants.
En France :
La zone économique exclusive française couvre 11 millions de km2 dont 97 % se situent en Outre-mer dans quatre des cinq océans mondiaux (ministère des Outre-mer).
La France détient la quatrième plus grande surface de récifs coralliens au monde (55 000 km2) répartis dans l’ensemble des océans (Ifrecor).
On estime à 58,5 millions, dont 21% environ de femmes, le nombre de personnes qui travaillaient à temps complet, à temps partiel, à titre occasionnel ou sous un statut non précisé dans la pêche et l’aquaculture en 2020. Sur ce total, 35% étaient employés dans le secteur de l’aquaculture et 65 % dans celui de la pêche de capture. (FAO 2022).
